Documentaire

de Vincent Sorrel et Barbara Vey

Durée : 1h20

 

 

Un portrait délicat du cinéaste, filmé chez lui, en Calabre, au milieu de ses oliviers. Avec humour et finesse, il revient sur son art, nous expliquant comment filmer les autres, c’est aussi « chercher à l’intérieur de soi ».

Samedi 15 avril  14h30

rencontre avec Vincent Sorrel

 

Une magnifique séquence ouvre ce film et en devient le fil conducteur : Vittorio De Seta réécoute la bande son de ses premiers films sur un gros magnéto à bandes. En plein air au milieu de ses oliviers, il parle du montage qui a été entièrement guidé par le rythme des cris ou des chants des hommes, le ressac de la mer, les bruits répétitifs des rames ou des instruments agricoles. Du coup, dans les images de Vincent Sorrel et Barbara Vey, périphériques au portrait même du dottore, on se surprend à accorder une importance toute particulière au son, celui du vent dans les rameaux d’olivier, de la machine qui secoue les arbres ou du vieux vélomoteur du prêtre venant visiter les ouvriers. Marc Guiga – Tënk.fr

 

 

                                 

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